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Format |
Radio
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Titre de l'émission |
QUI ETES-VOUS?
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Titre du segment | Gilles Marcotte (3 de 3) |
Date de création
| 1995-11-08 |
Invités | Marcotte Gilles, écrivain, critique |
Artisans | Laurendeau Francine, journaliste, intervieweuse; Major André, réalisateur |
Collection(s) |
Société Radio-Canada
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Résumé | (3 de 3) Gilles Marcotte raconte: son intérêt particulier pour la poésie; ses liens avec les poètes de l'Hexagone et l'essence de leur travail; l'histoire du groupe de La Relève et des auteurs le composant dans les années 50; sa vision de la culture actuelle; sa perception du spirituel; la présence de la musique dans sa famille et ses rapports avec celle-ci; sa recherche du discours commun autour des oeuvres en musique et en littérature; la notion d'époque en musique. |
Mots clés | Culture — Groupes et réseaux — Littérature — Musique — Périodiques — Poésie — Souvenirs |
Remarques sur le document | Cette émission a été rediffusée le 1996-10-30. |
Identifiant | 733621 |
Mise à jour |
2019-03-07 |
2 |
Format |
Radio
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Titre de l'émission |
INDICATIF PRÉSENT
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Titre du segment | Walter Boudreau |
Date de création
| 1996-09-30 |
Durée du segment | 00:13:00 |
Invités | Boudreau Walter, compositeur, chef d'orchestre, directeur de la SMCQ |
Artisans | Bazzo Marie-France, animatrice; Leblanc Danielle, réalisatrice |
Collection(s) |
Société Radio-Canada
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Résumé | Walter Boudreau parle du concert de la Société de musique contemporaine du Québec à l'occasion de la Journée internationale de la musique, de l'expression de son anarchisme, de l'époque de l'Infonie avec Raoul Duguay, ainsi que des manifestations de la folie. |
Mots clés | Culture — Groupes et réseaux — Musique — Souvenirs |
Identifiant | 1197418 |
Mise à jour |
2019-03-07 |
3 |
Format |
Radio
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Titre de l'émission |
LA 11E HEURE
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Titre du segment | Jean-Claude Germain (1 de 2) |
Date de création
| 1998-01-02 |
Durée du segment | 00:55:35 |
Invités | Germain Jean-Claude, auteur, homme de théâtre |
Artisans | Foucart Danielle, intervieweuse; Major André, réalisateur; Vigeant André, présentateur |
Collection(s) |
Contre-culture
Société Radio-Canada
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Résumé | Dans le cadre de la série "Qui êtes-vous ?", premier volet d'une entrevue réalisée avec l'auteur Jean-Claude Germain. Cet homme de théâtre coloré a participé à la naissance et à la direction du Théâtre d'Aujourd'hui, est porte-parole du Salon du livre de Montréal et à l'occasion, historien du théâtre et de la ville de Montréal. Il raconte comment il a développé son amour des livres, parle de son enfance, de ses années d'études chez les Jésuites, de son entrée en histoire et en lettres à l'École de Montréal, une institution qui était selon lui responsable de la pensée de l'indépendantisme, de la conscientisation de l'importance de l'histoire québécoise. Il rappelle ses débuts au théâtre en 1958, la fondation du Théâtre Antonin Artaud et dira quelques mots sur le Théâtre des Apprentis Sorciers qui logeait sur la rue Davidson dans le quartier Hochelaga-Maisonneuve à Montréal. Il se remémore l'époque de la bohème à Montréal à la fin des années 1950, la délimitation du territoire où se réunissaient les artistes entre les rues Saint-Laurent et Bleury, des anecdotes où il cite Armand Vaillancourt et Claude Gauvreau et aussi l'époque où, parallèlement au théâtre, il avait un boulot d'épicier pour gagner sa vie. Jean-Claude Germain, autodidacte, se souvient de sa période des chemins orientaux dans la foulée des Beatniks. Son entrée au milieu des années 1960 au "Petit journal", son travail de critique de spectacles pendant le festival mondial à l'Expo 67, puis de premier secrétaire exécutif du Centre d'essai des auteurs dramatiques qui marque les débuts du théâtre québécois. La naissance de la troupe du "Théâtre du Même Nom" qui se voulait un pied de nez au TNM et au théâtre classique, et la création de "Les enfants de Chénier". Ses véritables débuts comme auteur de théâtre, l'étroite collaboration avec les acteurs, l'anecdote de la première version des "Belles-soeurs" de Michel Tremblay et l'accent amplifié des comédiennes. L'importance pour lui de respecter les élisions dans ses textes, qu'il qualifiait de partitions, pour respecter l'émotion. Enfin, le théâtre revendicateur des années 1970, l'improvisation et la naissance du "Grand Cirque". |
Mots clés | Contre-culture — Culture — Groupes et réseaux — Langue — Littérature — Société — Souvenirs — Théâtre |
Identifiant | 1260240 |
Mise à jour |
2019-03-07 |
4 |
Format |
Radio
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Titre de l'émission |
LA 11E HEURE
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Titre du segment | Du Refus global au village global (11 de 20) |
Date de création
| 1998-05-18 |
Durée du segment | 00:58:25 |
Invités | Gagnon François-Marc, historien; Lapointe Gilles, historien de l'art; Sullivan Françoise, peintre, signataire du Refus global; Robert Guy, historien; Borduas Paul-Émile, peintre |
Artisans | Denis Jean-Pierre, réalisateur, animateur |
Collection(s) |
Société Radio-Canada
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Résumé | Onzième volet de la série: Portrait de Paul-Émile Borduas. L'historien François-Marc Gagnon rappelle la jeunesse de Borduas, sa rencontre et son apprentissage avec le peintre Ozias Leduc qu'il accompagne pour la réalisation de décors d'églises, de son passage à l'École des Beaux-Arts où il obtient des résultats académiques médiocres. Il poursuit en racontant le départ de Borduas pour la France en 1928, son retour au Québec et l'obtention alors d'un poste de professeur de dessin dans les écoles primaires de la CECM (Commission des écoles catholiques de Montréal) au moment où la crise économique sévit, son entrée à l'École du Meuble dans les années 1930, son rapprochement avec des étudiants qu'il invite à fréquenter son atelier; témoignage de Françoise Sullivan, étudiante de Borduas, qui donne un aperçu de ces rencontres. Présentation d'un extrait d'une entrevue accordée par Paul-Émile Borduas en 1950 dans le cadre de l'émission Causeries: sa conception de l'enseignement de l'art. L'historien Guy Robert remet en doute le tempérament de révolutionnaire de Borduas en retraçant le parcours de l'artiste, de même que ses qualités intellectuelles. Les circonstances de la rencontre entre Pellan et Borduas, présentés l'un à l'autre par le peintre Jean-Paul Lemieux. La révélation de l'œuvre choc de Pellan en 1940-1941. La naissance des mouvements automatiste de Borduas et Prisme d'Yeux de Pellan. L'influence du Frère Jérôme sur Borduas. La naissance du noyau des Automatistes à l'École du meuble. Pellan et l'obtention du poste de professeur; l'affrontement avec Borduas. Quelques mots sur la personnalité de Pellan plus extravertie que Borduas. La rupture finale en 1955 entre Borduas et le groupe des Automatistes. |
Mots clés | Anniversaires — Art — Automatisme — Culture — Groupes et réseaux — Souvenirs |
Identifiant | 1264021 |
Mise à jour |
2019-03-07 |
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